Bjorn Teani

Une position cycliste se définie de plusieurs manières, mais voici celle que je préfère (en considérant que : la selle, les manivelles/cales/chaussures et cintre ne changent pas) : Sur le plan que vous indiquez, on ne sait rien du recul (Rs) et c'est, en combinaison avec la hauteur de selle, une donnée primordiale. Mais de toute façon, rien qu'en voyant que vous avez 3,5cm de différence sur une hauteur de selle, je me dis qu'au moins une des deux positions est mauvaise. Laquelle ? Les deux ? Je n'en sais rien du tout. Etant donné que vous n'avez pas la valeur du recul de selle (avant et maintenant), pouvez vous déjà ramener la hauteur de selle à 62cm, ce qui devrait un peut réduire l'allonge (SC) et la bascule. Puis, si vous pouvez : réduire la longueur de potence, la retourner ou mettre une bague dessous. L'objectif étant de vous rapprocher au mieux de votre ancienne position. Qu'elle soit bonne ou mauvaise au moins là, vous pourrez comparer les vélos. Et dans un deuxième temps, vous attacher à trouver VOTRE position cycliste.

Si on veut comparer correctement deux choses, il faut définir les variables et les constantes. Les constantes c'est vous et le parcours (Je pars du principe que votre niveau de forme n'a pas changé, que la route est la même et que le vent n'a pas tourné... Si déjà je me trompe, c'est pas la peine d'aller plus loin). Les variables sont : votre position et le vélo. Pour être sur d'identifier la source du problème, j'étudierais en premier la position... D'où ma question : votre position (Hauteur de selle, recul, allonge et bascule) est elle déjà strictement la même entre vos deux vélos ? Probablement pas. Mais dans quels proportions ? Quels sont les changements ? Maintenant, à l'intuition, je dirai que oui, vous faites l'expérience d'un cadre trop rigide et difficile à "emmener".

"Conseil et service" sont donc des points importants pour vous. Et je vous rejoins tout à fait. Mais je pense qu'étant de l'autre côté de la barrière, nous avons une vision de l'idéal... Et parfois, j'ai l'impression que ce qui compte avant tout pour le client (et je parle pas forcément pour "nos" clients), sont des considérations plus pragmatiques. Certes, tout le monde veut du conseil et du service, mais de nos jours, pour être honnête, le "prix" semble venir en tête, puis ensuite le "choix". Il n'y a qu'à voir le succès des grandes enseignes sur les petits magasins ! Est-ce une simple impression ? J'aimerais bien avoir l'avis de nos membres...

Chers amis de la petite Reine, bonjour. Nous remettons actuellement à plat notre liste de "revendeurs partenaire" (qui exposent un de nos cadres/vélos), nous avons pris la décision de cibler ceux avec qui nous désirions travailler en nous concentrant plus sur la qualité que sur la quantité (quitte à faire faire des bornes à nos futurs clients). Je me posais donc la question : Qu'est ce qui fait un bon vélociste ? Alors bien sûr, j'ai ma petite idée. Mais je voulais savoir ce qui, selon vous, était particulièrement important. Lui faut-il un bon magasin ? De bons prix ? De bons délais ? Un excellent mécano ? Une bonne capacité d'écoute ? De l'expérience ? De la passion pour son métier ? Un grand choix de vélos ? Un grand choix de tailles ? Le fait qu'il propose du sur-mesure voir même qu'il fabrique lui même des cadres dans sa boutique ? ... Certainement un peu de tout ça et plus encore, mais concrètement, si vous deviez choisir 3 critères principaux qui définiraient selon vous un "bon vélociste" lesquels seraient ils ? D'ailleurs, si vous avez un exemple concret de vélociste qui mériterait le détour, n'hésitez pas à nous en faire part en nous disant pourquoi vous l'appréciez. Parfois, seulement un détail suffit pour qu'on distingue un véritable vélociste d'un vulgaire revendeur de cycles.

Pour la route, je n'ai jamais essayé. En VTT par contre, j'utilise exclusivement des pneus "tubeless Ready" avec du préventif (NoTubes). Cela marche extrêmement bien. Je me souviens d'une course dans le désert (...) de 6 jours sans aucune crevaison apparente, mais au moins 30 épines dans chaque pneu. MAIS, à mon sens cela marche car l'épaisseur du pneu permet au préventif de se glisser le long du trou et de le colmater. Sur des sections plus fines (comme un pneu de route), ce n'est probablement pas aussi efficace. De plus, cela induit l'utilisation de "tubeless"... Il doit bien exister des chambres à air avec préventif (en tout cas en VTT cela existe), mais du fait de la paroi encore plus fine, ce doit être encore moins efficace. Ensuite il faut déterminer le type de crevaison : perçage pneu/chambre par une épine, agrafe... ou pincement ? De mauvaises routes pincent et déchirent le pneu et là, le préventif ne servira à rien.

Si vous vous adressez à Vincent Blondeau seulement et que vous lui posez une question strictement personnelle, merci de lui adresser directement un mail.

4900 USD pour l'exogrid contre 3300 pour la version sans... Donc, l'option coûte 1200€. http://www.hollandcycles.com/?page_id=522 Et c'est une découpe laser.

Les tresses carbone s'arrêtent bien 5cm avant la zone de soudure. Le titane conduisant mal la chaleur, cela doit être suffisant. Et je pense aussi qu'a part un intérêt esthétique, il n'y a pas d'intérêt mécanique. Enfin bon, a travers une video, difficile de se rendre compte.

Il me semble que Paduano l'avait déjà fait également...

Quel nom ?

Beau vélo, oui. On trouve quelques photos sur le site VRZ : http://www.ralfholleis.com/VRZ-2 Ce qui m'intéresserait de savoir, ce sont les propriétés mécaniques obtenues avec un tel procédé. D'après ce que je sais, l'impression 3D de titane consiste à pulvériser de la poudre de titane et a la coller, couche par couche, grace à un laser. Et, toujours d'après ce que j'ai trouvé, il n'y a pas de fusion (liquéfaction) de la matière. Quant on sait à quel point le process de fonderie du titane est primordial pour ses propriétés mécaniques finales, j'ai encore un doute sur l'intérêt autre qu'esthétique du procédé d'impression 3D...

Approximativement, tous les cadres conviennent à tout le monde (d'un cadre de BMX à un VTT 29"). La question clé étant : oui, mais sur quelle distance ? Des méthodes simplistes pour déterminer la taille nécessaire d'un cadre, il y en a 223, environ. Mais au fur et à mesure qu'un pratiquant devient exigeant (sa pratique s'affine, les distances s'allongent, la performance est recherchée) tout en prenant de l'âge (perte de souplesse, douleurs corporelle dans la vie courante), ces méthodes ne suffisent plus et peuvent même être contre-productive. Donc, reste à savoir ce que vous cherchez dans votre pratique vélo. Pour aller chercher le pain, la méthode du coude placé contre le bec de selle et les doigts qui touchent le cintre marche aussi... ;-)

Ah bon ? Alors pourquoi parlez-vous de "pieds", "chaussures", "pédales", "manivelles" et "pratiques" ? Bref, une même personne, si elle désire pédaler en puissance avec un fort recul, ou comme un triathlète avec un très faible recul, devra adapter sa hauteur de selle en conséquence.

Et vous oubliez la relation hauteur de selle / recul de selle M. Blondeau !!

Je ne saurais pas quelle selle vous conseiller... Je passe la main à mes collègues ergonomes...

Comme tous les problèmes d'assise, le premier réflexe à avoir c'est de considérer la position globale sur le vélo. De mon expérience un problème d'assise vient plus souvent d'une mauvaise position que de la selle elle même. (En considérant que la selle soit de qualité, bien choisi en fonction de son genre et de son poids, et en excluant les frottements latéraux et les pressions dans l'axe). Parfois, les clients en changeant de selle se sentent mieux et qualifient leur nouvelle selle de "meilleure" que l'ancienne... Hors, si on regarde de plus près, le changement de selle à induit un changement de position (d'appuis) et c'est cela, avant tout, qui a corrigé le problème. S'il y a des douleurs, c'est, souvent, que les appuis sont pas les bons. Et cela vient de 2 choses : - la position de votre fessier sur la selle - l'orientation de votre bassin Et ces deux points dépendent directement de votre position sur le vélo. Donc, selon moi, la première chose à faire, c'est une étude de positionnement. PS : dans votre cas, il faut en plus considérer le fait que vous êtes un novice du cycle qui a drastiquement augmenté sa pratique. 3-4H de VTT ne se pratiquent pas, pour personne, sans une condition physique globale excellente (pas de surpoids) et du bon matériel (je pense au cuissard par exemple). Cela me reforce dans l'idée que pour votre souci, il ne faut vraiment pas se concentrer QUE sur la selle... mais surtout sur tout ce qu'il y a autour.

Ce sujet est posé de la même façon que celui ci : Le résultat est le même : fermeture. Les questions d'ordre strictement personnel se traitent en privé. L'astuce étant de tourner une interrogation personnelle en question générale. Par exemple "Quels questions se poser pour trouver un cadre confortable ?" (ce à quoi M. Blondeau vient de répondre).

Doucement M. Blondeau, pour l'instant, Jeremy poste dans la bonne section et semble savoir ponctuer ses messages... Pas la peine de lui tomber dessus tout de suite. (Vous, par contre, ne savez toujours pas "citer" un texte... ) Bienvenu Jeremy !

C'est une réflexion tout à fait louable ! L'auto-critique sur la façon dont nous pratiquons est primordiale, c'est sûr. Comme je le disais, des comportements idiots/irresponsables/dangeureux, il y en a des deux côtés. Améliorer notre visibilité est un impératif, mais est-ce réellement (toujours) le problème ? Personnellement, je parle de "considération" et là, c'est un tout autre débat. Et si un automobiliste en colère veut faire un sujet sur le non respect du code de la route par les cyclistes, qu'il ne se gêne pas. Mais selon moi, la GRANDE différence, c'est qu'un cycliste ne met - en ayant un comportement dangereux-, dans la pluspart des cas, que sa propre personne en danger. J'ai rarement entendu qu'un cycliste avait tué/blessé un automobiliste... Lorsqu'on conduit un engin de plus d'une tonne, on a une responsabilité supérieure. Et, naturellement, dans les cas particuliers ou extrêmes, on peut toujours trouver à argumenter dans un sens ou dans son contraire... A l'origine de ce message, il y a un sentiment, que malgré le fait que je pense rouler correctement sur la route à vélo, il y a une tendance de plus en plus forte à être soit négligé par les automobilistes (qui me frôlent), soit considéré comme n'ayant pas ma place sur la route (et être, pour le coup, frôlé de manière intentionnelle). Et je me demande si 1) je suis le seul dans ce cas (à avoir le ressenti d'une évolution négative de la situation) et 2) quelles solutions ont peut apporter à cela.

Bonjour M. W., Je suis le concierge de cet immeuble. J'espère que vous ne prendrez pas mal les remarques suivantes. Pour augmenter la qualité des réponses qui peuvent être données à vos question, je vous invite à plusieurs choses : - mieux définir le titre de vos sujets (cette étape, parfois longue, aide à mieux poser sa question par la suite) - lire les sujets suivants : (point 1 et 2) En pratique, votre titre de sujet aurait pu être : "Comment régler sa selle" Sujet déjà traité et répondu maintes et maintes fois, dans divers sujets... Mais comme les titres de ces sujets ne sont pas explicites, vous n'avez pas pu les trouver... C'est une boucle sans fin que j'essaie perpétuellement d'interrompre. Deux solutions. L'une, égoïste : vous utiliser la fonction "recherche" sur le forum (zone en haut à droite) en espérant ainsi trouver un des sujets où une réponse à votre question a peut-être été donnée (vous trouverez probablement qu'on déconseille de "bricoler" sa position en essayant de modifier sois-même le fonctionnement d'un élément de périphérie), ou, deuxième solution, vous créez un sujet d'ordre général sur "Horizontalité de la selle, règlages alternatifs ?" en titre de sujet et dans le corps du message vous posez votre question : "Peut on régler l'horizontalité de la selle en considérant son bec et son creux pour créer une nouvelle position ?". Néanmoins, et histoire de ne pas toujours être négatif, je tiens à souligner la qualité de rédaction de vos messages !

Encore un. Mais celui-là, il parle sur France 2 et il est connu : Cyclisme : Laurent Jalabert victime d'un accident de la route Vraiment désolé pour lui, mais peut-être que les pouvoirs publics vont commencer (par la force des choses : la pression du peuple) à s'intéresser sérieusement à la place du Cycliste sur la route... L'hostilité envers nous ne fait que grandir. Généralement, on est pris pour des bornes kilométriques qu'il suffit de "ne pas toucher". Mais quand ça touche... Sur ce forum de cyclistes, un débat sur la réalité du danger me semble inutile tellement nous devrions abonder dans le même sens (Je me trompe ?). Ce qui m'intéresse c'est comment faire changer les choses ? De mon point de vu, il s'agit d'éducation. Ni plus, ni moins. La plupart de gens ignorent ce que c'est que de se faire frôler par une voiture à +70 km/h. Ils ignorent qu'il est important de ne pas couper la piste cyclable en entrée et sortie de rond point. Ils ignorent que l'on ne doit pas doubler une voiture lorsque un cycliste arrive en face, sur la voie de gauche. Ils ignorent également qu'un cycliste est un usager à part entière de la route et qu'il peut utiliser TOUTE la voie de droite si ça lui chante (ou s'il doit éviter des trous). Bref, la liste est longue. Les pays nordiques ont, d'expérience personnelle, une toute autre considération des usagers de la route qui ne mettent pas 1,5T+ en mouvement comme eux. Tout le monde connait la propension qu'ont les allemands à stopper au passage clouté alors que vous ne saviez pas encore vous même que vous alliez traverser... Pour les vélos, c'est la même chose. Pourquoi ? Car ils y ont été sensibilisé. En France, combien de campagne de sensibilisation avez vous vu ? De mon côté, je n'hésite pas, lorsque je me trouve en présence de non-cyclistes, à leur rappeler quelques vérités, simples mais efficaces, sur la vie du cycliste sur la route... Au risque de ruiner l'ambiance d'un repas. Et vous ? Dernière chose, pour ceux qui se disent que "les cyclistes, souvent, ils abusent, ils pourraient serrer à droite et/ou ne pas rouler à 2 de front", je rappellerais que : 1 - On s'écarte du bord car la route et mauvaise ET ainsi, l'automobiliste doit : soit déboiter correctement SOIT ralentir. Alors oui, il râle, mais il ne nous frôle pas. 2 - Légalement, on pourrait rouler OU l'on veut, à condition de rester sur la voie de droite (comme un tracteur en fait. Il va pas plus vite, mais bizarrement, les autos ne le frôlent pas). 3 - Il y a des cons partout et tous les comportements de cyclistes ne sont pas exemplaires... MAIS nous ON risque nos vies en slip ! 90kg contre plus de 1200 : l'automobiliste ne risque RIEN, lui. Ah si, il va perdre 10 sec de sa vie...

Rien à voir avec la lumière... Une simple re-lecture aide à rendre votre message plus lisible, donc plus compréhensible DONC plus probable d'intéresser et d'attirer des réponses. Cela vous prendra simplement plus de temps. Vous remarquerez que même M. Blondeau ne se relit pas... Bref, au sujet de la section "Question pour M. Blondeau", celle ci devrait disparaitre sous cette forme dans la prochaine restructuration.

Bonjour Pascal, Quelques remarques qui, je l'espère, serviront à quelque chose (mais j'ai un gros doute). 1 - Vous vous adressez à toute la communauté et non à Vincent seul (ou alors écrivez lui un mail privé). 2 - Votre question est hors-sujet et n'a donc rien à faire dans celui-ci (oui, on pourrait dire que le sujet initial est mal formé... mais c'est un autre débat). 3 - Les questions "strictement personnelles" n'ont (théoriquement) pas leur place sur ce forum (voir le sujet : Questions strictement personnelles). 4 - Merci de faire un effort sur la présentation de vos messages (ponctuation / paragraphes). Ces remarques valent aussi pour M. Blondeau qui n'est décidément d'aucune aide dans la modération de ce forum...

C'est une question ? En tout cas, ce n'est pas le sujet...