Bjorn Teani

Suite à la mort de Brayden Nielson, triathlète américain, fauché par une voiture alors qu'il était à vélo, une page a été créé et une vidéo réalisée. C'est en anglais, mais vous pouvez activer les sous-titres pour vous aider à comprendre... Sinon, cliquez pour la traduction : (note: ma traduction vient d'être intégrée à la vidéo, mais mal synchronisée :-/)) Le point clé de cette vidéo étant de sensibiliser les "motorist" (ceux qui se déplacent en voiture/camion/moto) que quelques secondes prises à ralentir/freiner pour un cycliste peuvent tout simplement lui sauver la vie. Les cyclistes sont des gens "normaux", qui ont aussi une voiture, qui comprennent qu'un cycliste sur la route cela peut être ennuyant, mais que ce sont aussi des parents, des frères, des soeurs, qui ont de la famille, des amis qui les attendent au retour de leur sortie à vélo. Il est aussi rappelé que les cyclistes ont aussi un comportement à avoir et une responsabilité à tenir sur la route... L'initiative semble "privée" (non-gouvernementale) et a reçu le support de pas mal de grands noms du cycle. Est-ce la solution pour sensibiliser les gens ? En voyant cette video, je crains toujours qu'elle soit très populaire auprès des cyclistes qui partagent déjà la même opinion et que ceux qui, justement, négligent les cyclistes et ne le voient comme des obstacles sur la route (au mieux), ne la verront jamais. Mais peut-être qu'au bout d'un moment, eux aussi seront touchés... J'en profite pour relayer une autre information sur le sujet : Over 1,000 cyclists stage die-in protest outside Transport for London HQ. Là encore, les anglo-saxons montrent qu'ils savent se mobiliser... et nous ? EDIT : et pour répondre à Sam, voici ce qu'ont fait les Dutch... Sur cette dernière vidéo, les sous-titres, en français, sont activables via le menu.

Alors on ne vous reproche pas de venir cherchez des conseils... D'ailleurs, on ne vous reproche rien ! (Que ce soit bien clair). On essaie juste 1- de comprendre le problème 2 - de VOUS aider à le résoudre. Comprendre : on ne le résoudra pas nous même, ici. Et notre intérêt à prendre le temps de répondre sur un forum, c'est de gagner du temps sur les questions (souvent les mêmes) qu'on reçoit par mail. Donc ne vous retenez pas D'après ce que je lis, et si je comprends bien, vous connaissez votre position : celle qui vous va selon vos sensations (et ça surpasse à priori tout avis d'ergonomme) et que vous voulez reproduire au plus proche (Hauteur de selle, recul de selle, allonge et bascule). Dans ce cas là, c'est une histoire de trigo sur plan pour trouver si un cadre peut correspondre ou non... c'est relativement simple Ou alors vous ne connaissez pas votre position (dans le sens : "je ne sais pas quelle position est bonne pour moi" ce qui n'a rien à vois avec le fait de savoir relever une position actuelle sur un vélo donné), alors il faut se rapprocher d'un vélociste ou ergonomme pour une étude posturale qui aidera à déterminer la bonne position, puis le bon cadre/vélo. En espérant vous avoir aidé. Ah, et moi c'est "Bjorn" ;-)

Merci pour ce retour.

Au risque de me répéter, la désignation de la taille du cadre (54, 56, M, XL...) n'informe que grossièrement sur sa taille réelle et complète. La désignation de taille indique surtout où regarder dans le tableau de géométrie. Et là on se rend compte que pour des désignations identiques de taille, entre deux marques (ou deux modèles), on a pas : - le même angle de tube de selle - la même longueur de cadre à l'horizontal - le même angle de douille - et même la hauteur de douille... Pourtant tous ces paramètres (et d'autres encore comme la hauteur de selle, la selle, la potence...) jouent sur le positionnement final ! De plus, une étude posturale donne une position cycliste. Ensuite, on (le vélociste, vous, l'ergonome) regarde quel cadre pourrait supporter au mieux cette position. Au besoin, on peut faire des simulations si on a un logiciel adéquat, OU, avec quelques connaissances en trigonométrie, on peut également s'en sortir. Ce qu'il faut donc EN PREMIER c'est définir UNE position de départ (en vous basant sur une de vos études, sur votre propre expérience, ou sur l'avis d'un vélociste). Cette position a toutes les chances d'être simplement moyenne, mais ce n'est pas grave : c'est un point de départ, vous aurez toute votre vie de cycliste pour l'affiner. Là, j'ai l'impression qu'à chaque fois que vous consultez quelqu'un, vous obtenez une nouvelle "taille" de cadre... C'est d'ailleurs compréhensible car chacun fait ses calculs (l'ergonomie, c'est un peu comme la cuisine : chacun fait sa sauce). Et là n'est pas le problème d'ailleurs. Après 9 ans de cyclisme, vous devriez avoir une bonne idée de votre position. Celle ci sera à corriger (peut-être avec l'aide d'un ergonome ou vélociste) quand vous serez vieux, mais actuellement, vous devriez être en train de l'affiner seulement. Donc, histoire d'avancer, je vous conseille de commencer à raisonner sur votre position : comment voulez vous rouler ? Là, vous nous demandez de vous aider à choisir une taille de cadre alors qu'on ne sait rien (ou peu : Taille/EJ) de vous : impossible à faire sérieusement. Je me permets de vous renvoyer vers cet article que j'ai écris l'autre jour et pour lequel vous collez parfaitement. ;-) Et juste par curiosité, quel "fabricant de cadre" avez vous sollicité ?

Pour aller plus loin... Voici un lien vers un article très intéressant qui parle du rendement musculaire sur un vélo (malheureusement en anglais, mais si vous utilisez le navigateur Chrome, celui-ci pourra vous proposer une traduction instantannée) : Human Power Avec M. Blondeau, qui m'a aidé et aide toujours sur le sujet, nous avons retrouvé des articles de magazine où l'on remarque que le choix de tailles de cadre par le passé était, en moyenne, plus élevé qu'aujourd'hui : Les côtes de 9 cadres en aluminium en 1994 Fabrication TIME en 1994 Les côtes des cadres LOOK en 1994 Et vous, avez vous le sentiment qu'actuellement, le choix de taille est trop restreint ? Ou ne vous étiez-vous même jamais posé la question ?N'hésitez pas à partager votre point de vu sur la sujet. J'ai (nous avons) en tant que professionnel parfois une vision faussé de la réalité... Car comme un docteur pourrait croire que la planète entière est malade à force de voir des patients toute la journée, nous sommes également souvent confrontés à des personnes qui ne sont pas bien sur leur vélo... Et donc, naturellement, nous généralisons peut-être un peu facilement. Mon expérience personnelle à travailler chez un vélociste date aussi de quelques années maintenant... peut-être que la donne a changé... D'après ce que je ressens (et c'est corroboré par des collègues), les jeunes vélocistes ont, plus que les "anciens" moins de certitudes sur le positionnement tout en considérant que celui-ci est primordial...

Vous, cycliste, vous pédalez pour rien. En partie. Statistiquement, vous avez toutes les chances de ne pas être dans une position qui permettrait le meilleur résultat sur votre vélo. Je parle de résultat et non de "rendement" car la pratique cycliste ce n'est pas uniquement d'aller le plus loin et le plus vite, mais aussi (et surtout) d'y aller en se faisant plaisir. Le temps, la distance, le plaisir. Du professionnel au randonneur, chacun a ses préférences... En tout cas, une chose est sûre : personne n'aime souffrir inutilement. Pourtant, en pédalant, beaucoup d'entre vous se font mal, inutilement, à chaque tour de pédale. Mais pourquoi ? Qui pédale ? Contrairement à ce que semble vouloir faire croire le "marché", du couple cycliste/vélo, c'est bien vous l'élément le plus important. Ce n'est ni le poids et encore moins la couleur de votre vélo qui sont déterminant. Pas la peine de développer au delà, mais le rappeler me semble nécessaire. Et vous êtes limités par plusieurs facteurs. Le premier étant votre forme. Il y a aussi votre âge, vos gênes, votre entrainement, votre morphologie, votre femme, votre santé et votre bedaine éventuelle... qui sont autant de paramètres de première importance. Ensuite (et seulement ensuite) vient la machine, le vélo. Et puis la route et son revêtement, son dénivelé et ses conditions atmosphériques. Etant donné que la taille de votre bedaine et le choix du parcours (et de votre femme) vous regardent, intéressons-nous un instant à la machine, votre biclou ou petite reine, bike, spad, bicyclette, chariot, brouette ou vélo, c'est selon. Quel est sont rôle ? C'est un intermédiaire, un élément de transition. Il transforme un bipède en ensemble roulant, décuplant sa vitesse et sa portée. C'est simple, après la roue, c'est une des grandes inventions de l'humanité, ni plus ni moins. Dans une étude américaine(1) sur l'efficacité des espèces à se déplacer d'un point A à B avec le moins d'énergie possible, le condor arrivait en tête et l'homme, simple bipède, était dans la dernière moitié du classement. Mais ce bipède étant intelligent, il inventa le vélo et depuis, il a relégué le condor loin derrière lui. Voilà, c'est simple, grâce au vélo, il n'y a pas de déplacement plus efficace ! Le rôle du vélo est de transformer un mouvement humain, vertical et périodique (le fait de monter et descendre les jambes, car il n'y a que ça que l'on sache faire correctement avec ces deux appendices) en un mouvement horizontal et constant. Le tout en permettant au reste du corps de : respirer correctement, d'avoir un flux sanguin et nerveux optimal et une vue dégagée, de répartir au mieux les appuis pour que les pressions soient bien orientées et que n'apparaissent pas d'autres douleurs que celles dues à notre volonté d'aller plus ou moins vite et loin. Son rôle n'est pas : de nous donner mal au dos, mal aux poignets, mal aux "fesses", mal aux genoux, mal à la plante des pieds, de nous rendre impotent et même de nous faire oublier que nous avons une verge ou tout autre élément de première importance que l'on fait souffrir inutilement. Au contraire même, le vélo est sensé, avec la natation et le ski de fond, être un des sports qui entretient le mieux le corps ! Alors pourquoi tant de souffrances ? Ceux qui ont trouvé leur bonheur le savent bien : ils roulent et ne changent rien. Les autres, changent de selle, de chaussures, de cintre, de potence, puis à nouveau de selle... puis de vélo et même de vélociste car bon, il faut bien un fautif ! Lorsque se pose la question du changement de vélo (ou de cadre), quels sont les paramètres qui rentrent en jeu ? Réputation de la marque ? Pédigrée ? Esthétique ? Prix ? Poids ? Combien d'entre vous commencent par regarder les tableaux de géométries pour orienter son choix ? Un marathonien vous dira que mal choisir la taille de ses chaussures est critique. Un mauvais choix de chaussure et vos problèmes de pieds remonteront jusqu'à votre colonne. Dans le monde de la "càp", les chaussures se déclinent généralement en plus de 30 tailles. D'ailleurs, un revendeur sérieux vous demandera d'abord quel type de foulée vous avez, si vous êtes pronateur ou supinateur... Ensuite il vous proposera des modèles et des marques qui peuvent vous convenir. Maintenant, revenons au monde du vélo. Il est aisé de comprendre que le choix d'un vélo, de par la multitude des appuis à positionner et la variété de l'espèce humaine, devrait être plus complexe qu'un choix de chaussure. Mais quel est le choix disponible ? Régulièrement, j'effectue un tour des grandes marques du marché pour voir ce qu'elles proposent en termes de prix, de modèles et surtout de tailles... Actuellement, ces marques proposent de 7 à 13 tailles en tout. Car même s'il y a plusieurs modèles de cadres, leurs géométries sont parfois identiques. Alors oui, on peut changer de potence, de déport de tige de selle, mais en changeant une valeur, on impacte les autres... et pas forcément dans le bon sens. De plus, la longueur de la potence, le nombre de bagues et l'importance du déport aura des impacts non négligeables sur le comportement dynamique de votre vélo. Je suis régulièrement sidéré par le fait que les cyclistes connaissent plus précisément le poids de leur vélo que leurs valeurs de positionnement. La positon, c'est la variable. On est mal sur son vélo, on va voir le vélociste (qui va faire ce qu'il peut avec ce qui est disponible). Il vous fait changer de selle et potence. Ensuite, il vous fait changer de vélo. Un cadre est alors commandé. On vous pose dessus et là, on fait au mieux. Vous êtes jeune ? Très bien, vous vous adapterez. Vous ne respirer pas au mieux et vos muscles ne seront pas dans la position idéale pour effectuer un mouvement que vous allez faire des milliers de fois ? Ce n'est pas dramatique, on verra bien quand vous serez plus vieux... Là, à ce stade (de "vieux"), il existe deux cyclistes. Celui à qui on ne la fait pas : il connait sa position et s'attache à la retrouver sur son prochain vélo. On le reconnait facilement en magasin, il se balade un mètre à la main. Et il y a l'autre, celui qui a voyagé de vélo en vélo... connaissant à peine la taille réelle de son cadre. A cette personne nous lui souhaitons réellement de tomber sur un vélociste sérieux (et il y en a) qui saura le positionner au mieux pour qu'il puisse encore rouler longtemps ! Je le constate régulièrement avec mes clients et je ne comprends pas : Tout cycliste, qui roule, que ce soit pour le plaisir ou la compétition, devrait commencer par savoir quelle position lui conviendrait, et passer sa vie à l'affiner ! Le marathonien a bien commencé par mesurer son pied avant de choisir sa chaussure !! Mais dans le vélo non. C'est à peine si l'on considère taille et entrejambe. Et nous n'allons pas blâmer les vélocistes : pourquoi chercher une position au millimètre si c'est ensuite pour ne pas avoir de taille de cadre qui corresponde !? Oui, le corps a de formidables capacités d'adaptation. Mais quand même, pourquoi la position n'est elle pas le facteur déterminant dans le choix d'un cadre ? Oui, statistiquement, les tailles de cadres proposés par l'industrie conviennent à la plupart des gens... en gros. Mais où est le progrès dans sa pratique cycliste ? Gagner 100g sur le vélo ou arriver d'une position convenant "en gros" à une position parfaite, millimétrée, où l'on sent tout son corps travailler en harmonie avec la machine. Aucune douleur inutile, les appuis sont idéaux. La circulation des flux, sanguins, nerveux, aérien est parfaite... tout tourne et on avance. On fait corps avec la machine, on l'oublie et il ne reste plus que le plaisir de rouler ! C'est ça, pour moi, l'objectif à atteindre ! Sans cela, vous pédalez en partie pour votre plaisir et en partie pour vous faire mal de manière inutile. Pour rien, en somme. C'est cette petite douleur qui vous gâche la sortie. Cette position trop couchée qui vous a empêché de respirer au mieux et donc d'avoir l'apport énergétique maximal. Ou encore l'angle de votre poignet sur le cintre, qui fait que vous avez usé vos articulations qui vous feront bientôt mal. Quant aux fesses... Elles mériteraient tout un chapitre également. Vous vous dites que je prêche pour ma paroisse : le sur-mesure ? Oui et non. Oui car un cadre à 100% sur mesure est ce que l'on fera de mieux pour le cycliste, j'en suis persuadé. Et non, pas forcément si l'on considère le choix proposé non pas par chaque marque mais par leur ensemble, la grande majorité des cyclistes pourraient trouver leur bonheur, au millimètre près (ou demi-centimètre, en tous cas). Le préalable à tout cela c'est que le cycliste s'intéresse d'abord à sa position avant même de regarder quels vélos pourraient lui plaire. Définir sa position, même si elle est incertaine au début. Ensuite, se renseigner sur les géométries que proposent les marques. Certaines marques sont plus agressives que d'autres sur le positionnement (et la dynamique du cadre), d'autres sont plus traditionnelles... D'autres encore font même une distinction claire entre une position « course » et « cyclo ». A vous de trouver laquelle vous correspond. Il y a énormément de professionnels qui pourraient vous aider ! Il suffit que vous leur parliez de l'importance du positionnement au lieu de leur demander le poids du vélo ! (1) ça m'a été soufflé par Steve Jobs, ni plus ni moins, mais j'avoue n'avoir aujourd'hui pas encore retrouvé l'étude en tant que tel... Je ne trouve que des articles lui faisant référence. Mais je cherche encore.

Impossible de dire si c'est le bon choix ou pas. Peut-être que le vélociste a un oeil très expérimenté et qu'au delà de votre taille seule, il a pu évaluer votre souplesse et rapport entrejambe/taille... Ce qui est possible. Improbable, mais possible. Vous a t'il au moins positionné sur le vélo avant de vous laisser partir avec ? Quant à la taille, oui, Cannondale doit bien donner la "taille réelle" c'est à dire la hauteur virtuelle du tube de selle si le cadre était droit... Bref, ne vous inquiétez pas, moi-même je m'y perds également. C'est pourquoi, en ce qui me concerne, la taille donnée, que ce soit un nombre ou "M, L, XL..." m'indique juste quelle colonne regarder dans le tableau de géométrie et là, ce qui m'intéresse en premier c'est la hauteur de douille et la longueur du cadre (à l'horizontale). C'est d'ailleurs comme cela qu'on désigne nos cadres standards : le "15.55" est un cadre avec 15cm de douille et 55 de longueur top tube virtuel. En ce qui vous concerne, si vous êtes débutant, oui, trouvez un bon vélociste, il saura mieux que moi vous renseigner.

Cannondale désigne la taille de ses cadres par la longueur Axe de pédalier / sortie de tube de selle. 2cm en dessous de cette valeur, vous avez la distance Axe de pédalier / axe tube de selle - top tube. Cette valeur vous permettra de voir si vous aurez une belle sortie de tige de selle, mais guère plus. A l'époque des cadres "droit" cette valeur renseignait également sur la hauteur de douille (puisque le top tube était à l'horizontale, la sortie de tube de selle correspondait avec la sortie de tube de direction)... Donc, on pouvait, avec cette même valeur, savoir quelle serait sa sortie de tige de selle ET le nombre de bagues qu'il faudra mettre sous la potence. Par contre, cette valeur ne vous renseigne pas sur : le recul de selle que vous aurez, ni sur votre allonge (sauf pour les cadres "au carré" de l'époque...) Bref, une désignation de cadre (52, 54, L, ML...) vous indique juste où regarder sur le tableau de géométrie. Tout ça pour dire que le choix d'une taille de cadre ne peut se résumer à la hauteur de sortie de tube de selle sur un cadre avec slooping. Quelle doit être votre position cycliste ? (Hauteur de selle / recul de selle / allonge / bascule) Quel géométrie conviendrait à cette position ? Sans cela, vous visez au hasard en espérant que vous correspondiez "à la moyenne".

Dans le cadre de mes recherches annuels sur les géométries proposées par les différentes marques du marché, je me suis dit que le listing effectué pouvait vous intéresser. Le listing donne les modèles de cadre, le nombre de géométries proposées et un accès plus ou moins direct au tableau de géométrie via un lien. Je l'éditerai au fil de mes recherches. Si vous remarquez des erreurs ou si vous voulez complèter la liste dans le même format, n'hésitez pas à répondre à ce sujet. Un point crucial qui m'intéresserait de développer est : combien de géométries différentes sont elles proposées par les différentes marques ? Recopient-elles les géométries d'un modèle à un autre ? Ou proposent elle réellement différentes géométries à travers leur gamme ? Colnago C59 : 8s + 14 M10 : 8s CX ZERO : 8 CLX 3.0 : 8 CLD : 4s M10-ACR : 8 STRADA SL : 8 MASTER : 17 K-ZERO : 4 Trek Madone 7 : 7 + 8 Madone 6 : 7 + 9 Madone 5 : 7 Madone 4.5 : 7 Madone 3.1 : 7 Madone 3.1 WSD : 5 Madone 2.1 : 7 Lexa : 5 1.1 : 8 Domane 6 : 9 Domane 6 WSD : 9 Domane 5 : 7 Domane 5 WSD : 5 Domane 4 : 7 Domane 4 WSD : 5 Domane 2 : 7 Speed concept 9 : 5 Speed concept 7.5 : 4 Speed concept 7 WSD : 5 Spezialized Tarmac SL4 : 6 Venge : 6 Amira SL4 : 5 Allez E5 : 5 Shiv TT : 5 Roubaix : 6 Ruby : 5 Secteur : 6 Dolce : 5 Awol : 4 Alias : 5 Transition : 5 Crux : 7 BH G6 : 5 Ultralight : 5 Quartz : 4 Prisma : 5 Sphene : 4 Aerolight : 4 Quartz Elle : 4 Alvia : 2 Cannondale Supersix EVO : 8 CAAD10 : 8 CAAD8 : 6 SYNAPSE : 6 SLICE : 5 Scott Foil : 7 Addict : 7 Solace : 7 CR1 : 7 Speedster : 7 Plasma : 3 - 5 Contessa : 5 Willier ZERO.7 : 6 Cento 1SR : 6 ZERO.9 : 6 GTR : 6 GTS : 4 Stella : 3 Izoard XP : 6 Montegrappa : 5 Lapierre Xelius : 5 Sensium : 5 Audacio : 5 Cervélo R series : 6 S Series : 6 P Series : 6 RCA : 6 Canyon AEROAD : 6 ULTIMATE : 7 ROADLITE : 7 SPEEDMAX : 3 Kuota K-UNO : 6 KOM : 6 KULT : 6 KURARO : 6 KHARMA : 7 KORSA : 8 KUENN-K : 5 KALIBUR : 5 K-FACTOR : 5 LOOK 695 : 6 675 : 5 566 : 5 596: 4 Pinarello Dogma : 13 Paris : 10 Rokh : 7 Marvel : ? Razha : 7 FPTeam : 7 Neor : 8 Orbea Orca :7 Orca Dama : 4 Avant : 7 Aqua : 6 Aqua Dama : 4 Ordum : 3 Orca Tri : 7 BMC Impec : 10 Teammachine : 6 Granfondo : 6 Timemachine : 4 TIME ZXRS : 6 NXS : 6 FLUIDITY : 7 FLUIDITY FIRST : 7 Giant Ridley Batavus EXS Coga Principia Definitive Gitane De Rosa Granville Eddy Merckx

Vous voulez illustrer vos propos de photos ? Pas de soucis, c'est même une bonne idée. Dans le principe, il faut que - la photo soit hébergée quelque part sur internet - que vous insériez l'adresse de la photo dans votre message. En pratique (et pour faire simple), trois options : 1 - Fonction "Joindre des fichiers" Lorsque vous rédigez un message, en bas de la zone de texte, vous avez l'option "joindre des fichiers". Cliquez sur le bouton et choisissez votre fichier. Ensuite, vous devez "Ajouter dans le message" le fichier uploadé. Cette fonction étant essentiellement là pour échanger des fichiers (du type PDF, doc...), il se peut que vos images soient de trop grande taille. De plus, elles apparaitrons en miniature dans votre message. Il faudra cliquer dessus pour l'afficher en grand. 2 - La Galerie du forum La galerie du forum, accessible depuis le menu dans la barre en tête du site, vous permet de stocker des photos dans des album. Ensuite, lors de la rédaction d'un message, vous pouvez y avoir accès directement en cliquant sur le bouton "Mes médias" et ainsi les insérer dans votre message. C'est un peu plus contraignant que la solution 1 (car il faut passer par la Gallerie), mais la taille de vos images sera automatiquement réduite. Néanmoins, vous avez un espace total limité... Il faudra donc à un moment faire le tri. 3 - L'hébergement externe Des sites proposent l'hébergement gratuit de photos, comme par exemple http://www.hostingpics.net/. Vous téléchargez vos photos sur leur site et ils vous communiquent un lien à insérer dans votre message. C'est facile d'utilisation, il n'y a pas de limitations (en tout cas pas pour l'objet de ce sujet). C'est, pour des images à utilisation unique, la méthode à préférer. Autre option, utilisez votre compte "Cloud" (comme par exemple Dropbox (je me permets de vous parrainer)) en utilisant la fonction "partager le lien Dropbox". Voilà, si vous avez des questions d'ordre technique, n'hésitez pas à les poser... Elles serviront surement à d'autres.

Non, avant cela, il faut connaître votre position. Mon avis est qu'avant de se focaliser sur le vélo, il faut raisonner sur la position. Si ça se trouve, quelque soit votre puissance, celle-ci ne peut probablement pas s'exprimer complètement. Une fois le paramètre position élucidé, la discussion sur la rigidité du cadre aura un sens. Car là, sur une intuition, vous blâmez le cadre, mais si ça se trouve, c'est juste (ou d'abord) une question de position.

Le paradoxe, c'est que c'est "petits" vélocistes, dont le magasin porte généralement le nom, sont sous-exposés. Je prends notre exemple : Notre site attire pas mal de monde et la question la plus récurrente est : où peut on acheter un cadre titane Grade9 ? (où tout du moins "où peut on en parler à un vélociste). Je vous passe les détails, mais lorsque nous n'avons personne dans la région du client, nous demandons au client lui même qui il nous conseillerait. Une fois sur deux, cette personne n'a pas de nom à nous donner. Et ce n'est pas parce qu'il ne connait pas de vélociste... C'est juste qu'il ne nous en conseille aucun !! Et, parfois, par chance, au fil du temps, on déniche un petit vélociste, qui ne paye pas de mine, qui n'a pas 400m2 d'exposition, mais qui répond aux demandes des clients et leur propose un bon service. Ce sont des perles rares ! Je me dis depuis longtemps que nous devrions établir une liste de ces "vélocistes remarquables"... Mais il faudrait faire ça bien. Je vais y réfléchir. En attendant, si vous avez des noms à donner, n'hésitez pas... actuellement, je suis preneur !

Une position cycliste se définie de plusieurs manières, mais voici celle que je préfère (en considérant que : la selle, les manivelles/cales/chaussures et cintre ne changent pas) : Sur le plan que vous indiquez, on ne sait rien du recul (Rs) et c'est, en combinaison avec la hauteur de selle, une donnée primordiale. Mais de toute façon, rien qu'en voyant que vous avez 3,5cm de différence sur une hauteur de selle, je me dis qu'au moins une des deux positions est mauvaise. Laquelle ? Les deux ? Je n'en sais rien du tout. Etant donné que vous n'avez pas la valeur du recul de selle (avant et maintenant), pouvez vous déjà ramener la hauteur de selle à 62cm, ce qui devrait un peut réduire l'allonge (SC) et la bascule. Puis, si vous pouvez : réduire la longueur de potence, la retourner ou mettre une bague dessous. L'objectif étant de vous rapprocher au mieux de votre ancienne position. Qu'elle soit bonne ou mauvaise au moins là, vous pourrez comparer les vélos. Et dans un deuxième temps, vous attacher à trouver VOTRE position cycliste.

Si on veut comparer correctement deux choses, il faut définir les variables et les constantes. Les constantes c'est vous et le parcours (Je pars du principe que votre niveau de forme n'a pas changé, que la route est la même et que le vent n'a pas tourné... Si déjà je me trompe, c'est pas la peine d'aller plus loin). Les variables sont : votre position et le vélo. Pour être sur d'identifier la source du problème, j'étudierais en premier la position... D'où ma question : votre position (Hauteur de selle, recul, allonge et bascule) est elle déjà strictement la même entre vos deux vélos ? Probablement pas. Mais dans quels proportions ? Quels sont les changements ? Maintenant, à l'intuition, je dirai que oui, vous faites l'expérience d'un cadre trop rigide et difficile à "emmener".

"Conseil et service" sont donc des points importants pour vous. Et je vous rejoins tout à fait. Mais je pense qu'étant de l'autre côté de la barrière, nous avons une vision de l'idéal... Et parfois, j'ai l'impression que ce qui compte avant tout pour le client (et je parle pas forcément pour "nos" clients), sont des considérations plus pragmatiques. Certes, tout le monde veut du conseil et du service, mais de nos jours, pour être honnête, le "prix" semble venir en tête, puis ensuite le "choix". Il n'y a qu'à voir le succès des grandes enseignes sur les petits magasins ! Est-ce une simple impression ? J'aimerais bien avoir l'avis de nos membres...

Chers amis de la petite Reine, bonjour. Nous remettons actuellement à plat notre liste de "revendeurs partenaire" (qui exposent un de nos cadres/vélos), nous avons pris la décision de cibler ceux avec qui nous désirions travailler en nous concentrant plus sur la qualité que sur la quantité (quitte à faire faire des bornes à nos futurs clients). Je me posais donc la question : Qu'est ce qui fait un bon vélociste ? Alors bien sûr, j'ai ma petite idée. Mais je voulais savoir ce qui, selon vous, était particulièrement important. Lui faut-il un bon magasin ? De bons prix ? De bons délais ? Un excellent mécano ? Une bonne capacité d'écoute ? De l'expérience ? De la passion pour son métier ? Un grand choix de vélos ? Un grand choix de tailles ? Le fait qu'il propose du sur-mesure voir même qu'il fabrique lui même des cadres dans sa boutique ? ... Certainement un peu de tout ça et plus encore, mais concrètement, si vous deviez choisir 3 critères principaux qui définiraient selon vous un "bon vélociste" lesquels seraient ils ? D'ailleurs, si vous avez un exemple concret de vélociste qui mériterait le détour, n'hésitez pas à nous en faire part en nous disant pourquoi vous l'appréciez. Parfois, seulement un détail suffit pour qu'on distingue un véritable vélociste d'un vulgaire revendeur de cycles.

Pour la route, je n'ai jamais essayé. En VTT par contre, j'utilise exclusivement des pneus "tubeless Ready" avec du préventif (NoTubes). Cela marche extrêmement bien. Je me souviens d'une course dans le désert (...) de 6 jours sans aucune crevaison apparente, mais au moins 30 épines dans chaque pneu. MAIS, à mon sens cela marche car l'épaisseur du pneu permet au préventif de se glisser le long du trou et de le colmater. Sur des sections plus fines (comme un pneu de route), ce n'est probablement pas aussi efficace. De plus, cela induit l'utilisation de "tubeless"... Il doit bien exister des chambres à air avec préventif (en tout cas en VTT cela existe), mais du fait de la paroi encore plus fine, ce doit être encore moins efficace. Ensuite il faut déterminer le type de crevaison : perçage pneu/chambre par une épine, agrafe... ou pincement ? De mauvaises routes pincent et déchirent le pneu et là, le préventif ne servira à rien.

Si vous vous adressez à Vincent Blondeau seulement et que vous lui posez une question strictement personnelle, merci de lui adresser directement un mail.